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Enjeux des secteurs de l'enfance et de l'aide à la jeunesse
Milieux d’accueil de l’enfance et services d'accueil spécialisés de la petite enfance (SASPE)
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Renforcer l’encadrement :
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financer au minimum 1,5 ETP puéricultrice et 0,25 ETP logistique pour 7 places agréées dans les crèches ;
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améliorer les taux d’encadrement des SASPE : 8 ETP/8 enfants pour l’accueil, 1,28 ETP/8 enfants pour le personnel PMS, minimum 0,75 ETP/16 enfants pour le personnel administratif, minimum 2,75 ETP/16 enfants pour l’intendance, minimum 0,5 ETP/16 enfants pour la coordination (en soutien à la direction) ;
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revoir le système de rétrocession et/ou financer des frais de fonctionnement ;
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prévoir un subside à l’équipement et/ou permettre aux services de bénéficier des recettes avec rétrocession (comme dans les crèches), pour leur permettre d’assumer leur future obligation d’équiper les accueillantes à partir de 2025.
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Renforcer l’attractivité du secteur :
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implémenter le système de barèmes IF.IC (ou un système comparable), pour les postes de direction, puéricultrice, infirmier et assistants sociaux, administration et logistique, en particulier dans les crèches ;
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améliorer la formation initiale des puériculteurs et puéricultrices ;
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réduire collectivement le temps de travail avec embauche compensatoire à partir de 55 ans à raison de 2h00 (55 ans), puis 4h00 (58 ans) et 6h00 (60 ans).
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Infrastructures :
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augmenter le budget ordinaire ;
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simplifier les démarches administratives et accélérer l’acceptation des dossiers de subsidiation ;
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mettre en place un plan d’investissements de 25.000.000 EUR sur 5 ans en faveur des crèches, permettant des constructions, rénovations tenant compte des nécessités de mise en conformité dans le cadre de la crise climatique (sur base d’audit énergétique).
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Favoriser l’autonomie de gestion :
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limiter les procédures administratives ;
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ne plus déduire les dons des subventions ONE.
Accueil temps libre
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Conditions d’emploi :
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évaluer les conditions d’emploi : horaires, salaires, temps de travail, etc. ;
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refinancer l’emploi en tenant compte du temps de préparation des activités, de la formation et la construction de l’accueil local ;
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rendre les dispositifs de fin de carrière accessibles aux travailleurs à temps partiel.
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Formation initiale et continue :
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mettre en place un brevet transversal pour l'accompagnement éducatif et social dans l'accueil extrascolaire, les centres de vacances et les écoles des devoirs ;
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octroyer et valoriser le temps de formation continue.
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Infrastructures :
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augmenter le budget ordinaire ;
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simplifier et accélérer les démarches administratives.
Promotion de la santé à l’école
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Évaluer l’organisation (qualitative) de la Promotion de la santé à l’école. Fixer et financer une norme de personnel en lien avec le nombre d’élèves :
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établir des profils de fonction pour le personnel infirmier, médical, administratif, formé en santé publique et coordinateur ;
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élargir la grille barémique aux profils de coordinateur et au personnel formé en santé publique.
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Améliorer le statut des médecins pour les mettre en équivalence à des médecins des consultations préventives ONE.
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Infrastructures :
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prévoir un budget infrastructures et équipements additionnels ;
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mettre à disposition des services un logiciel commun de gestion des données sanitaires.
Aide à la jeunesse
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Accessibilité et besoins des jeunes :
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réévaluer et compenser les frais journaliers (en fonction des coûts réels) ;
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mieux prendre en compte les frais médicaux non ou insuffisamment remboursés, subsidier les suivis médicaux, simplifier et accélérer la procédure de remboursement des traitements médicaux et paramédicaux exceptionnels ;
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accélérer les remboursements aux prestataires externes (centres médicaux, organismes de stage, etc.) ;
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évaluer le système des capacités réservées.
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Mieux subventionner les services afin de renforcer la qualité :
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flexibiliser la gestion des frais de fonctionnement afin de répondre aux nouvelles obligations et aux besoins dans la gestion des services ;
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augmenter les frais de fonctionnement pour les services résidentiels généraux (SRG) et les services d'aide en milieu ouvert (AMO) ;
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pérenniser le mécanisme de glissement entre les enveloppes frais de personnel et frais de fonctionnement (services résidentiels et non résidentiels) ;
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liquider les subsides facultatifs au plus tard dans les trois mois de la mise en œuvre du projet ;
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octroyer des aides à l’investissement.
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Adapter les normes d’encadrement :
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renforcer le secteur de manière structurelle ;
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augmenter la norme d’encadrement éducatif à raison de 8 ETP éducateurs par 15 prises en charge et 1,5 ETP psycho-social par 15 prises en charge pour les SRG ;
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raccourcir les paliers du nombre de prises en charge à partir desquels certaines fonctions sont revues à la hausse ;
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agréer les AMO au minimum en catégorie 3 ;
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faire bénéficier tous les services de personnel technique et d’entretien.
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Améliorer les conditions de travail :
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financer la prime de fin d’année à concurrence de la prime de la fonction publique ;
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valoriser l’ancienneté acquise dans une fonction similaire dans le cadre de l’aide aux personnes ;
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faire mieux progresser l’échelle barémique sur l’ensemble de la carrière (allongement des échelles) ;
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permettre de justifier l’utilisation de la subvention par des frais de formation ;
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organiser des formations spécifiques au secteur de l’aide à la jeunesse ;
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accorder à l’ensemble du personnel bachelier un barème identique.
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Meilleure gestion administrative des services :
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organiser une inspection comptable régulière des services, au minimum à la fin de chaque triennat ;
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fixer la subsidiation définitive des services dans l’année suivant la fin du triennat ;
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élaborer un processus d’évaluation en concertation avec les services, reprenant les éléments qui serviront pour l’évaluation pédagogique ;
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évaluer le système des diagnostics sociaux et le repenser pour une plus grande cohérence entre services ;
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évaluer le fonctionnement des conseils de concertation intrasectorielle et des conseils en prévention;
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renforcer la transversalité entre secteurs afin de mieux garantir la prise en charge des jeunes dans leur globalité.
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Stabiliser et pérenniser les services d’accrochage scolaire (SAS) :
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modifier le décret SAS ;
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financer le cadre réel de l’emploi ;
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financer la fonction de direction au barème B ;
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augmenter la subvention pour frais de fonctionnement à 80.000 EUR ;
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améliorer le cadre structurel des SAS par le financement de personnel titulaire de master et le personnel administratif.